Le mot du jour – par l’abbé Philippe Castermant
Dans l’Evangile que nous entendrons ce dimanche, nous constaterons que Jésus ne se contente pas de chasser des esprits, de nombreux démons, mais qu’il guérit aussi la belle-mère de Pierre (Simon) ainsi que beaucoup de mal-partout atteints de diverses maladies.
Jésus est donc venu sauver l’homme tout entier. Il n’est donc pas insensible aux souffrances physiques que l’homme peut vivre et plus largement aux problèmes concrets de la vie des gens.
A trop séparer le spirituel du corporel ou du temporel, on en arriverait vite à oublier que le Verbe s’est fait chair, l’un de nous.